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Les masques de protection à usage médical sont composés de masques type FFP2 et de masques chirurgicaux. Les masques barrières grand public sont souvent représentés par les masques en tissus.
De nombreux virus comme le SARS-Cov-2 se développent principalement dans les voies respiratoires. La volatilité des particules infectieuses nous oblige donc à porter un masque.
Toux, éternuement, geste médical ou simple respiration , un virus peut se propager rapidement s'il n'est pas stoppé par un masque, traité par du gel hydroalcoolique ou autres produits désinfectants...
Les masques de protection à usage médical sont composés de masques type FFP2 et de masques chirurgicaux. Les masques barrières grand public sont souvent représentés par les masques en tissus.
De nombreux virus comme le SARS-Cov-2 se développent principalement dans les voies respiratoires. La volatilité des particules infectieuses nous oblige donc à porter un masque.
Toux, éternuement, geste médical ou simple respiration , un virus peut se propager rapidement s'il n'est pas stoppé par un masque, traité par du gel hydroalcoolique ou autres produits désinfectants...
Si vous désirez réaliser un achat important de masques, nous vous conseillons de vous adresser à nos conseillères pour toutes questions relatives à une actuelle commande ou un futur achat.
Selon les règlementations en vigueur, notamment en lien avec l'épidémie de Covid-19, il convient de porter le masque dans les lieux suivants :
Ces mesures sont susceptibles de varier en fonction des décisions gouvernementales afin de garantir la sécurité sanitaire du pays.
Le maire et le préfet pourront aussi décider d'imposer le masque chirurgical ou en tissu dans d'autres zones de regroupement tels que les marchés, les parcs, les rues passantes...
La sanction encourue est une contravention de 4° classe à hauteur de 135 euros.
C'est à l'employeur de mettre à disposition gratuitement des masques dédiés aux risques encourus.
La transmission se fait surtout par gouttelettes (estimées >10μm) et par aérosols (résidus de gouttelettes, particules de tailles inférieur à 5 μm). Les gouttelettes peuvent être projetées jusqu'à 3m de distance. Les fines particules restent quant à elles, longtemps en suspension dans l'air et peuvent contaminer les sujets présents.
Le temps de chute de ces particules varie en fonction de la taille :
La sédimentation des particules est un des principaux facteurs à prendre en compte quant à la nécessité de porter un masque.
De plus ; le pic d'infectiosité apparaissant très tôt dans le cadre de la Covid-19 (un peu avant l'apparition de symptômes ou au moment de leur apparition), la transmission du Coronavirus se fera facilement par des cas pré-symptomatiques ou asymptomatiques.
L'université UC Davis en Californie a publié une étude le 24 septembre 2020 sur l'efficacité des masques sur le contrôle d'émission de particules virales. Le granulomètre mesurant ces émissions a indiqué que le port d'un masque chirurgical ou FFP2 diviserait par 6 l'émission de particules.
Les professionnels de santé opérant un acte de soin ou de chirurgie pouvant causer une éclaboussure de liquide biologique ont pour habitude de porter un masque avec une couche imperméable ainsi qu'une visière ou des lunettes. Ces masques de protection respiratoire protègent des poussières, agents pathogènes, aérosols et fumées toxiques (selon la classe d'efficacité)
Le port du masque limitera aussi l'excrétion virale des voies oropharyngées et nasales.
Les masques peuvent comporter une soupape expiratoire permettant une meilleure respirabilité. Attention cet air expiré n'est pas forcément filtré. Ces masques ne doivent pas être portés dans un bloc opératoire ou pour des soins dont l'asepsie est stricte.
Le choix du masque se fait selon 4 critères qui sont :
Lisez précisément les risques traités par le masque : amiante, plomb, fumées métallique, virus...
Le masque est composé d'une pièce faciale en contact avec le visage ainsi que d'un dispositif de filtration. Les techniques de confection peuvent être différentes : masque "bec de canard", masque à plis, coque moulée. Il faut garder en tête que son efficacité de protection est avant-tout liée à sa capacité à être compatible avec la morphologie de votre visage.
Dans ce sens, les attaches varient : attaches à ajuster en nouant deux brins, élastiques derrière la tête ou élastiques auriculaires. Vous pouvez aussi trouver des modèle avec un joint nasale en mousse.
Tout d'abord, il faut comprendre comment fonctionne un masque. Les plus grosses goutellettes (> 3μm) seront arrêtées par la première couche externe du masque. Les goutellettes comprises entre 0,6 et 3μm iront suivre les fibres pour s'y déposer par inertie. Les plus fines plus agitées par les molécules d'air pourront pénétrer davantage les filtres du masque mais finiront par être stoppées par les fibres.
Efficacité de filtration selon les masques :
Si le masque ne permet pas de bien respirer, l'air ejecté se fera davantage par les zones non filtrées, sur les côtés entre le masque et la peau du visage. La transmission aérienne virale sera ainsi plus importante.
La perméabilité à l'air est donc un point important pour assurer une bonne protection d'autrui.
La biocompatibilité et la propreté microbienne font partis des prérequis à la vente.
Certains masques possèdent du graphène, une substance toxique qui pourrait inclure des risques pour les voies respiratoires. Il est ainsi recommandé de se tourner vers des masques sans graphène. Pour ce faire, bien vérifier l'emballage et la notice du produit avant de l'acheter.
Certains masques sont équipés d'une valve qui s’ouvre à l’expiration et se ferme à l’inspiration. Ce petit clapet présente l'avantage d'améliorer la respiration et le confort. En revanche, son défaut majeur est qu'elle ne permet pas de filtrer l’air expiré. Des gouttelettes et aérosols peuvent donc s'échapper et contaminer les personnes autour du porteur. Ainsi, ce type de masque est à privilégier pour les travailleurs en contact avec la poussière, par exemple, et à bannir en période d'épidémie.
Masque de protection respiratoire type FFP :
Un Appareil de Protection Respiratoire (APR) est un Équipement de Protection Individuelle (EPI). Ces équipements sont donc conforment aux exigences de la règlementation de l'UE (2016/425) ainsi que celles du Code du Travail (art. R. 4313-1 et suivants). Norme en question : NF EN 149.
Masque chirurgical dit aussi masque de soin :
Le masque de soin à usage médical doit être conforme au règlement européen (UE) 2017/745. Vous y retrouverez la norme NF EN 14683.
Le masque en tissu dit masque barrière :
Sur un masque en tissu, la reconnaissance de la qualité et de la performance est un critère de vente important. Acheter un masque pour se protéger du Coronavirus, n'est pas un acte anodin. De plus en plus, le consommateur et notamment les sujets les plus à risque, vont prêter attention aux certifications AFNOR, accrédité par le COFRAC afin d'être certain de leur achat.
Pour un masque en tissu homologué, il existe en plus la certification NF Masques Barrière respectant le processus de fabrication du guide AFNOR Spec (masque jugé sur le confort ainsi que la précision de filtration et de respirabilité).
L'anotation "filtration garantie testée X lavages" est possible que si les masques en tissu ont été testés par des laboratoires.
On trouvera sur l'emballage des masques de protection respiratoire (ou demi-masques filtrant) comme les FFP :
La norme N95 est une norme Américaine garantissant la filtration des particules dans l'air à 95% tout comme la norme KN95 en Chine. La classe FFP2 en Europe correspond à peu de choses près à ces normes.
Voici les différences entre les différents type de FFP (Filtering Facepiece Particles) :
À noter qu'il n'y pas énormément de différence de respirabilité entre le FFP3 et le FFP2 : ils seront utiles contre les bactéries, virus, spores de champignons.
Le masque FFP, est un masque de protection respiratoire. Il va complètement protéger le porteur ainsi que son entourage.
Le masque FFP2 protège surtout des micro et nano particules lors des manoeuvres invasives respiratoires dans un établissement de santé comme lors de l'intubation ou extubation d'un patient,d'un prélèvement naso-pharyngé, d'une endoscopie bronchique, de soins de kinésithérapie respiratoire etc...
Cette mise en suspension dans l'air des particules virales n'est pas correctement filtrée par un masque chirurgical jetable puisque l'air passe sur les côtés.
Attention : il faut bien savoir comment utiliser un masque FFP2. A défaut, ce dernier sera presque aussi efficace qu'un simple masque chirurgical.
C'est un masque anti-projection permettant de protéger les autres du porteur.
Les masques médicaux de type 1 filtrent 95% des aérosols émis (taille comprise entre 1 et 3μm); 98% pour les masques type 2.
À savoir que, les masques de type I sont des masques médicaux et peuvent être portés par les soignants ou des patients présentant une infection.
L'humidité réduisant grandement l'efficacité du masque jetable (et réutilisable), il est recommandé de le changer toute les 4 heures.
Le signe EFB signifie : Efficacité de Filtration Bactérienne, ou BFE en anglais. Cette indication porte sur l'efficacité du masque dans le sens de l'expiration : pour protéger ainsi les autres.
Le masque chirurgical est à usage unique et dure entre 3 et 4 heures.
Bien que plus écologique et économique, ce masque barrière grand public, est déconseillé pour un usage médical.
Vous retrouvez deux catégories de masques en tissu lavable :
Tissus à privilégier : coton 90g/m2 ou 115g/m2 sur les faces externes et internes ; du tissu non tissé pour le filtre (référez-vous aux conseils de l'AFNOR ici)
Tissus non recommandés : microfibre, jersey, toile ciré, jean..
Il vous est recommandé de suivre le nombre de lavages. Si vous avez plus de mal à respirer, c'est que les fibres du tissu se sont resserrées. Il sera temps de changer de masque en tissu avant d'en avoir mal à la tête.
La durée d'utilisation d'un masque barrière est de 4h maximum.
Attention : ne gardez pas votre masque dans un sac, une poche ou autour du cou. Porter un masque type FFP sur une barbe réduit l'étanchéité. La plupart des masque FFP sont à usage unique certains sont lavable et réutilisables.
Changez le masque FFP2 maximum toutes les 8 heures.
Attention à bien prendre en compte les consignes suivantes :
Le port du masque ne suffit pas pour lutter contre la propagation de virus. Cette pratique s'inscrit dans une stratégie globale : se laver et se désinfecter les mains, aérer les pièces, respecter les règles de distanciation sociale, éternuer ou tousser dans son coude. Nous vous conseillons cet équipement complémentaire :
La transmission aérosolisée des maladies infectieuses est un vrai problème, d'autant plus que la Covid-19 a un tropisme principalement respiratoire. Il est évident qu'il ne faut pas se focaliser sur la meilleure protection dans des conditions qui ne le nécessite pas. En effet, le masque empêchant une ventilation normale, la personne sera tentée de l'enlever.
Pour bien choisir votre masque dans un environnement médical, nous vous conseillons de vous tourner vers la médecine du travail pouvant vous conseiller certains modèles déjà approuvés. Les fabricants de masques proliférant du fait de la pandémie mondiale, il vaut mieux avoir un avis d'expert. Nous vous conseillons cet excellent rapport sur le choix d'un appareil de protection respiratoire en cliquant ici
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